Des responsables de partis politiques, membres du gouvernement désapprouvent la poursuite des négiciations entre le gouvernement et les bandits. Les responsables de la Fusion, Victor Benoît, et de l’OPL, Edgar Lebanc, sont préoccupés par le kidnapping.Victor Benoît critique la stratégie du premier ministre qui continue les négociations avec les bandits. » Nous ne sommes pas d’accord avec la politique du gouvernement en matière de sécurité qui n’a pas donné des résultats positifs ».Le chef de file de la Fusion des Sociaux démocrates affirme que le premier ministre, Jacques Edouard Alexis, doit corriger sa stratégie, précisant que le gouvernement doit poser au plus tôt des actes concrets pour rétablir un climat sécuritaire.Il soutient que le gouvernement doit appliquer la loi, et dénonce les menaces des partisans de Jacques Edouard Alexis contre les parlementaires. De son coté, le président de l’Organisation du Peuple en Lutte,Edgar Leblanc, se déclare » inquiet face à la détérioration du climat sécuritaire. Edgar Leblanc condamne la politique du gouvernement, et indique que la recrudescence de l’insécurité coïncide avec les déclarations du premier ministre relatives à la poursuite des négociations avec les bandits. Le chef de file de l’OPL ne cautionne pas la politique du gouvernement dans le domaine de la sécurité, en dépit de la présence d’un représentant de l’OPL au sein du gouvernement. » Il ne peut y avoir des négociations avec des criminels », a conclut Edgar Leblanc.
Le gouvernement est isolé dans sa stratégie sécuritaire
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