Le président du sénat Joseph Lambert réclame le rétablissement de la peine de mort afin de contrecarrer la vague de kidnapping dans la région métropolitaine.Le sénateur de Lespwa indique qu’il » faut mettre en veilleuse l’article 20 de la constitution qui interdit la peine de mort et d’appliquer la peine de mort contre les bandits ».Le sénateur Joseph Lambert a également critiqué le comportement des responsables d’organisations de droits humains qui s’opposent aux rétablissement de la peine capitale, mais qui n’ont formulé aucune proposition pour rétablir un climat sécuritaire dans le pays.De son coté le sénateur des Nippes, Cassy Nenel est opposé au rétablissement de la peine de mort, estimant qu’il faut de préférence renforcer les institutions. » Il faut procéder á l’arrestation des criminels et il faut que les juges les condamne », a indiqué le sénateur Nenel Cassy. Réagissant sur ce dossier, le président de la commission sécurité du sénat, Youri Latortue, rejette l’idée de la réactivation de la peine de mort estimant qu’elle est inconstitutionnelle. Il regrette que les juges ne veulent pas appliquer le décret du gouvernement intérimaire relative à l’emprisonnement a perpétuité pour les auteurs d’actes de kidnapping. Parrallelement, le sénateur de l’Union, Gabriel Fortuné, affirme qu’il faut adopter des mésures exceptionelle étant donné que les violences ont atteint un niveau alarmant. » Il faut des dispositions légales pour fusiller les auteurs de crimes et de tortures », soutient le sénateur du Sud. Le sénateur de Lespwa, Kelly Bastien, affirme que les autorités ont le droit et le devoir d’adopter des dispositions pour combattre le terorisme à l’instar des puissances mondiales. Le sénateur du Nord explique que » nous pouvons comme les grands pays restreindre certaines liberté afin de proteger la population ».
La peine de mort envisagée pour mettre un terme á l’insécurité
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