Situation de tension entre l’exécutif et le CEP

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Le responsable de l’institution électorale met en garde le président du 26 novembre, Jean Bertrand Aristide, contre tout remaniement. Ernst Mirville prévoit même des conséquences facheuses pour l’ensemble des élus lavalas. « Le président lavalas Jean Bertrand Aristide ne doit pas jouer avec le feu » averti le docteur Mirville. « le Conseil Electorale Provisoire est un pouvoir indépendant de l’exécutif » a fait valoir le président du CEP remanié qui entend affirmer l’indépendance de l’institution électorale. Le Groupe de Convergence Démocratique salue la prise de position du président du CEP tout en maintenant ses critiques à propos des élections du 21 mai et du 26 novembre. Le Groupe de Convergence estime que la révocation des membres du CEP remettrait en question tout le processus électoral dont il reclame l’annulation.

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