Est-ce le début de la fin de la malaria en Haïti ?

193

«Diagnostiquer avant de traiter», Jeanine Hyppolite répète ces mots comme si c’était un mantra.«J’étais vraiment impressionnée. Ça marche». Jeanine est debout dans le Centre de Santé de Solino dans la capitale haïtienne, à Port-au-Prince et elle décrit les effets du séminaire de formation du programme national de la malaria à laquelle elle a participé en compagnie d’autresinfirmières et de techniciens de laboratoires en décembre 2012. Ce programme a exposé les dispensateurs de soins de santé en Haïti à trois concepts fondamentaux. Tester chaque personne qui a de la fièvre. Ne traiter que celles qui sont positifs pour la malaria. Utiliser la chloroquine avec la primaquine: l’une pour traiter et l’autre pour réduire la transmission.[..] Le programme national contre la malaria connait des progrès, et l’année dernière, le Ministère de la Santé Publique et de la Population, avec le support des Centres de Prévention et de Contrôle des Maladies Infectieuses(CDC), a formé des travailleurs de santé sur les TDRs dans 146 institutions de sept des dix départements d’Haïti.Lire l’intégralité du texte : http://photos.state.gov/libraries/haiti/231771/PDFs/2014-4-25%20World%20Malaria%20Day%20story%20French.pdf

Publicité