A Santa Cruz, en Bolivie, les 14 et 15 juin,constate le Courrier International, les chefs d’Etat des 133 pays les moins développés, avec la Chine en invitée, se sont donnés pour ambition d’éradiquer la pauvreté dans le monde. Mais ce sommet du G77 n’a pas éveillé l’intérêt de la presse.Représentant environ 60 % de la population mondiale, ce rassemblement ambitieux s’est donné tous les moyens de parvenir à ses fins en invitant la Chine à sa table, faisant grimper la part de l’humanité représentée à 77 %. Dans quel objectif ? Il s’agissait d’élaborer la feuille de route pour un monde meilleur. Ce qui a vraiment marqué la presse occidentale, rapporte Le Courrier à l’instar du Miami Herald, semble être l’intervention du président uruguayen José Mujica, qui fait l’objet du titre de la dépêche AP : « Le président Mujica dénonce une culture du gaspillage ». Pour sa part, Evo Morales, le président bolivien, qui prône des « institutions propres au G77 », a fait référence à un « institut de la décolonisation et de la promotion des relations Sud-Sud ».Le président et ses hôtes ont abouti à la rédaction d’un document comportant différentes propositions et objectifs. Pour l’Ecuador Times, « ce document insiste sur une réforme du Conseil de sécurité de l’ONU et déclare que la lutte contre la pauvreté doit être l’objectif central de l’agenda du développement ».Lire l’intégralité de l’article du Courrier : http://www.courrierinternational.com/article/2014/06/18/g77chine-le-nouvel-ordre-mondial-passe-inapercu Photo : les participants au sommet du G77 + Chine, le 15 juin. Crédit photo : AFP PHOTO/AIZAR RALDES Source : Le Courrier Iternational HA/radio Métropole Haiti
G77+Chine : le « nouvel ordre mondial » passe inaperçu
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