Haïti : L’essence, rime avec cherté et rareté

Dans les quelques stations d’essence ouvertes dans la capitale ce sont des files de véhicules et de gens qui espèrent trouver, désespérément, du carburant moins cher que sur la rue. Les gens viennent avec des jerricanes, des bouteilles plastique etc…Personne ne sait s’ils achètent l’essence pour eux ou pour le revendre au marché noir ?40 dollars haïtien à la pompe 150 dans la rue, beaucoup ne peuvent plus se payer le luxe de se déplacer. Chaque jour de moins de voitures sillonnent les rues de la capitale et de ses environs.Certaine personnes et organisme sont prioritaire, comme les service de la ville, les policiers etc… Ce qui fait monté la colère et la tension de ceux qui attendent sous un soleil de plomb.Les industries, station de radio etc… cherchent également de la gazoline pour reprendre du service.Ce qui est sur c’est que tous ne repartiront pas avec le précieux liquide, aujourd’hui tant convoité.RM

Publicité