Le Réseau national des droits humains note dans son dernier rapport, une nette recrudescence des bastonnades et des violences dont la police se serait rendue coupable. Marie Yolène Gilles prend en exemple les cas Rigal Toussaint et de Wilson Roch décédés après avoir été victime de mauvais traitements de la part des forces de l’ordre. Madame Gilles affirme que les policiers bénéficient actuellement d’une forme d’impunité qui les encourage à agir de cette manière. Notons que les responsables de la Police nationale n’ont pas encore réagi, après la publication de ce rapport par le Le Réseau National de Défense des Droits Humains (RNDDH). EJ/Radio Métropole Haïti
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