Inauguration de l’institut de la Francophonie pour la gestion dans la caraïbe qui accueille depuis deux mois 22 étudiants en gestion. L’ambassadeur canadien, Claude Boucher, dans son discours de circonstance s’est réjoui que la francophonie ait pu s’engager dans la formation de gestionnaires. Claude Boucher affirme que le secteur de la gestion est crucial dans un contexte de nouveau départ pour le développement d’Haïti. » Haïti a besoin d’hommes et de femmes compétents qui puissent permettre au pays d’atteindre un niveau de développement comparable à celui des pays occidentaux », a déclaré l’ambassadeur canadien, Claude Boucher qui invite les étudiants à contribuer au progrès d’Haïti en s’engageant sur le terrain.De son coté, l’ambassadeur de France, Christian Connan, affirme que les haïtiens doivent avoir confiance dans leur système éducatif, et souhaite le développement des filières de gestion dans le pays. L’ambassadeur français pense que les conditions sont réunies pour que les étudiants puissent trouver de l’emploi après avoir bouclé leurs études. » Dans beaucoup de domaine il n’existe pas d’infrastructures necessaires, mais il y a un nombre croissant de filières dans lesquelles on peut faire d’exellentes études en Haïti », souligne l’ambassadeur de France. Intervenant lors de la cérémonie d’innauguration, le directeur de l’agence universitaire de la Francophonie, Emile Tanawa, affirme que les haïtiens peuvent faire de bonnes études en Haïti. Emile Tanawa indique que la question universitaire est l’un des aspects de la politique de la francophonie qui favorisera le développement des pays. » L’agence universitaire de la Francophonie n’est pas une université, mais s’appuie sur les universités membres pour améliorer les conditions de travail », précise Emile Tanawa.
Innauguration d’un institut de la Francophonie
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