La Plate-forme des Organisations Haïtiennes des Droits Humains (POHDH) réclame La libération immédiate et sans condition des professeurs, étudiants et employés de la Faculté des Sciences Humaines arrêtés le 18 novembre 2009 dernier Dans une note de presse l’organisme de droit humain se dit choquée par ces arrestations abusive et condamne aussi l’irresponsabilité des titulaires du Rectorat dans le traitement du dossier de l’Université d’Etat d’Haïti, ce qui est à la base de la persistance de la crise selon l’organisation. La POHDH tient à attirer l’attention des autorités de l’Etat que les actes d’arrestation arbitraire sont condamnés par les articles 24, 24.1 de la Constitution Haïtienne, 9 de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme 9 du Pacte relatif aux Droits Civils et Politiques. Dans cette note de presse la Plate forme réclame l’intervention immédiate de l’Etat Haïtien en vue de satisfaire les revendications justes et fondées des étudiants, de procéder à la libération sans condition des détenus et d’œuvrer à mettre fin à cette crise qui persiste au sein de l’Université d’Etat d’Haïti. Aux étudiants la POHDH les invite à manifester pacifiquement et a surveillé toutes infiltrations dans leur mouvement. RD
La POHDH qualifie d’arbitraire l’arrestation des étudiants et employés de la Faculté des Sciences Humaines
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