Les élèves reprennent le chemin des classes , le 8 septembre c’est-à-dire dans moins de deux (2) semaines. Cette décision du Ministère de l’Education Nationale de fixer la rentrée à cette date ne fait pas l’unanimité au niveau des directeurs d’écoles et enseignants de la capitale . Pour certains responsables, il est impossible que les écoles rouvrent leurs portes à la date prévue . Car ,soutiennent-ils , la publication tardive des résultats des examens d’Etat , de plus en désordre, a beaucoup affecté l’administrastion des écoles privées. En outre , expliquent-ils , les parents ne sont pas à même de s’acquitter de leurs redevances et les nouvelles inscriptions pour la future année académique ne sont à au beau fixe. Cependant, pour d’autres propriétaires d’établissements scolaires , « reporter la rentrée des classes à une date ultérieure ne va rien changer », car , précisent-ils les problèmes vont toujours resurgir .L’essentiel , affirment-ils , l’école doit fonctionner . D’un autre côté, les professeurs sont aussi partagés sur la question de la rentrée scolaire . Pour plusieurs , leur état psychologique et celui des parents et enfants ne prêtent pas à un tel exercice . Ils souhaitent une reprise en octobre prochain . Mais d’autres enseignants sont d’avis que la rentrée des classes se fasse en septembre en dépit des difficultés. Ils indiquent que l’école est le seul moyen par lequel les enfants peuvent s’instruire . Cette réouverture des classe annoncée pour le 8 septembre fait couler beaucoup de salive et retrouve pères et mères dans une crise éconimique aigüe .
La rentrée scolaire programmée pour le 8 septembre divise directeurs d’établissements et professeurs
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