Les signataires de l’accord du 11 septembre sont méfiants

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L’accord du 11 septembre est soumis à rude épreuve. L’edifice chancelle à ce moment crucial de la conjoncture marquée par une une forte cohésion entre les opposants.


À des degrés divers les membres influents de cet accord expriment leurs insatisfactions.


Le Secteur Démocratique et Populaire (SDP), un regroupement de 7 partis politiques et d’une centaine de d’organisations, exprime son désamour qui est presqu’ume méfiance.
Nenel Cassy, plaide pour un accord plus large. Il affirme avoir engagé des discussions avec d’autres partis politiques n’écartant pas la possibilité d’un accord large sans le Premier Ministre Ariel Henry.


L’un des dirigeants de Force Louveturienne, M. Emmanuel Ménard, est plus nuancé. Il recommande fortement un accord plus large. M Ménard peut se considérer comme un modéré parce qu’il n’a jamais coupé les ponts avec l’accord de Montana.

Le parti PHTK et les alliés sont également mécontents.
L’ex sénateur Roudolphe Joasil, porte parole d’un regroupement de 16 formations politiques, ne décolère pas contre le Premier Ministre en raison du retard dans l’application des divers points de l’accord.


Toutefois la cheffe de file de la Fusion des sociaux démocrate, Edmonde Supplice Brauzile, tout en admettant des retards, souhaite le maintien de ce projet.


En outre des manifestations tout au moins de contestations avaient été réalisées par des militants pour réclamer l’application stricte de l’accord du 11 septembre.

LLM / radio Métropole Haït

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