Osner Févry fait état des conditions de vies horribles des détenus du Pénitencier National. » J’ai touché l’iniquité et la méchanceté », lance M. Févry qualifiant le Pénitencier de cage aux esclaves.Tout en remerciant les avocats, le bâtonnier et les responsables d’organisations de défense des droits humains qui l’ont soutenu, le juriste assure qu’il n’entend pas se venger de ceux qui ont comploté contre lui.Saluant le courage du bâtonnier, Gervais Charles, Osner Févry souligne que l’intervention du barreau a été déterminante dans sa libération. Intervenant à la rubrique » Invité du jour » de radio Métropole le chef de file du Conaced a fait valoir que son cas illustre des milliers de cas de violation des droits humains. » Le Pénitencier est un centre de torture et de traitement inhumain et dégradant », martèle t-il estimant que la DCPJ est un nouveau » fort dimanche ».Après 13 jours de privation de liberté Osner Févry n’entend pas uniquement critiquer mais plutôt attirer l’attention sur les esclaves du Pénitencier National. Interrogé sur les accusations de faux et d’usage de faux, le juriste révèle que Willy Cadet avait tenté de s’accaparer d’un terrain qui lui appartient.M. Févry nie les 6 chefs d’accusation dont avaient fait état le commissaire du gouvernement. » Il y a eu un prétexte pour m’emprisonner « , dit-il révélant qu’il est l’objet d’attaques depuis la fondation du club Obama. LLM