Les rues sont jonchées de cadavres, certaines écoles sont «remplies» de corps sans vie. Emmet Murphy,de l’ONG ADCI/VOCA raconte que «La montagne a paru s’effondrer».Les gens étaient et sont toujours dans un état de panique et de désespoir face au pire séisme qu’Haïti vient de connaitre en plus de deux siècles. Après les inondation aux Gonaives le sort s’acharne contre le peuple haïtien.A l’heure actuelle il est très difficile d’avancer un chiffre du nombre de victimes, René Préval estime le chiffre à des milliers de mort, tandis que les Jean-Max Bellerive l’estime à des centaines de milliers.Les rues de Port-au-Prince ne sont plus qu’une plaie béante, où cadavres s’entremêle avec les restes d’habitation, commerces…De nombreux blessés afflues vers le centre de MSF dans l’espoir de se faire soigner, certain on des plaies béantes, d’autres un membres écrasé…Haiti à perdu un morceaux de son histoire, le Palais National, qui n’est plus opérationnel, mais le plus grave n’est pas là… Écoles et hôpital effondrés, gens ensevelis sous des tonnes de gravats, ou dans l’attente du main charitable qui viendront les aider, pendant ce temps là les pillards sont à l’œuvre dans les magasins.Certains ont perdu leurs enfants d’autres leurs parents. Haïti a de nouveau orphelins.Aujourd’hui il est très dure de garder espoir, mais comme dit le proverbe l’espoir fait vivre, alors gardons espoir tous unis main, dans la main.RM
Port-au-Prince saigne
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