Le Centre d’étude des droits humains de l’Ecole de Droit de l’Université de Miami publie un rapport accablant sur la situation des droits de l’homme sous le gouvernement intérimaire. Le texte cite le CARLI à plusieurs reprises, son dirigeant Renan Hédouville nie tout. La Presse constitue un obstacle majeur au respect des droits humains en Haïti et l’opération Bagdad n’existerait pas, écrit Thomas M. Griffin de l’Université de l’Ecole de Droit de Miami, citant le responsable du Comité des avocats pour le respect des libertés individuelles (CARLI) .Dans ce rapport accablant pour le gouvernement intérimaire, avec photos à l’appui, l’enquêteur en question a mis en relief,ceci à plusieurs reprises, les déclarations du dirigeant du CARLI pour soutenir les faits avancés dans son document intitulé « Haiti Human Rihgts Investigation » entre le 11 et le 21 novembre 2004.D’un revers de main, Renan Hédouville rejette les affirmations de M.Griffin. Dans une interview accordée à Radio Métropole, ce vendredi 11 février 2005, le numéro 1 du Carli dit avoir du respect pour le noble travail effectué par la Presse depuis environ une trentaine d’années. Cette presse qui,selon le dirigeant du Comité des Avocats pour le Respect et la Liberté Individuel,défend les valeurs sociales. A cet effet,Renan Hédouville s’interroge sur l’attitude de Thomas Griffin. Un soi-disant rapport d’une cinquantaine de pages en anglais qui ne reflète pas du tout la réalité haïtienne, souligne l’homme de loi. Me Renan Hédouville annonce pour le lundi 14 février la publication d’un rapport dans les médias afin de dénoncer le texte de Thomas Griffin publié dans le monde à travers le net.
Rapport controversé sur la situation des droits humains en Haïti
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