Le chef de la police accuse un secteur politique d’être lié au réseau de gangs armés responsables des actes des kidnapping à travers le pays.Mario Andésol qui n’a pas voulu identifier le candidat à la présidence de cette formation politique annonce l’adoption d’une série de mesures pour capturer les commanditaires de ces actes d’enlèvement.Le chef de la police affirme que la rescrudescence des actes de kidnapping s’explique par l’implication des membres de ce secteur politique qui autrefois avait la haute main sur l’institution policière. M.Andrésol précise que les forces de l’ordre ont, au cours des derniers mois, procédé à l’arrestation de nombreux chefs et membres de gangs armés impliqués dans des actes d’enlèvement.Il rapelle qu’au cours des 6 derniers mois environ 50 policiers impliqués dans des cas de kidnapping ont été interpellés,ce qui prouve que « l’épuration de l’institution policière doit être la priorité dans les efforts visant à combattre le fléau de l’insécurité ». M. Andrésol indique que la restructuration et l’épuration de l’institution policière permettront de réduire le fléau de l’insécurité à 30 % de son niveau actuel.Mario Andrésol affirme que parmi les personnes impliquées dans le kidnapping « il y a des candidats à la présidence qui ont mal digéré le retrait de certains policiers attachés à leur sécurité rapprochée ».Selon le chef de la police le kidnaping est politique puisque ce réseau « cible des personnalités en vue afin de provoquer la colère de l’opinion publique contre la direction de la police ».
Une formation politique impliquée dans les actes de Kidnapping selon le chef de la police.
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