Une seconde nuit dehors

Les haïtiens s’apprêtent à passer une seconde nuit dehors, dans la rue. Beaucoup n’osent plus rentrer chez eux par peur. De multiples répliques de moindre intensités sont ressenties.Certains produits ont commencé à se vendre au marché noir, tel la gasoline et l’eau. Par exemple l’eau est passé de une à trois gourdes le petit sachet.Aujourd’hui les gens ont cherché à dégager les victimes des décombres, à l’aide de leurs mains car les outils manquent.Certaines sources indiquent que cela va prendre de 5 à 10 ans pour reconstruire Port-au-Prince.L’aide internationale commence à arriver au compte goutte, la Banque Mondiale va débloquer 100 millions de dollars d’urgence.

Publicité