Une confusion s’est installée au sein de l’opinion publique suite à la publication de l’arrêté présidentiel du 7 février 2003 nommant un nouveau Conseil Electoral Provisoire (CEP) sans constat de la caducité du CEP en poste depuis 2001 . Le quotidien » Le Nouvelliste » dans son édition du lundi 10 février a attiré l’attention sur le fait que l’arrêté du 7 février dans ses considérants n’avait fait aucune mention de la démission du conseil présidé par Alix Lamarque . Interrogé par Radio Métropole sur cette anomalie , le mardi 11 février , l’un des porte-parole de la Présidence , Haendel Carré, n’était pas en mesure de fournir une réponse appropriée. Le docteur Carré était dans l’impossibilité d’indiquer si un nouvel arrêté va être publié pour rectifier le tir . L’essentiel, a indiqué le docteur Carré, est la mise en branle du processus électoral . A ce sujet , la Présidence exhorte les sept (7) membres nommés le 7 février à convaincre la Convergence Démocratique et les autres partis de l’Opposition indépendants de la Convergence à intégrer l’appareil électoral . Le docteur Carré poursuit qu’il y a urgence car le déclenchement du processus électoral va permettre le déblocage économique suivant les termes de la Résolution 822 de l’Organisation des Etats Américains (OEA). Une importante mission de l’Organisation Hémisphérique est attendue à Port-au-Prince , le dimanche 16 février .
Deux (2) conseils électoraux pour une élection
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