7 mois depuis l’assassinat du présidenthaïtien, M. Jovenel Moïse, en sa résidence à Pèlerin 5, ä Pétion ville.
Des policiers de l’unité de sécurité présidentielle sont présents sur la cour. Ils ont des chiens à leur disposition mais la barrière n’a toujours par été remise en place.
Dans la zone des langues se délient. Plusieurs résidents du quartier expriment aujourd’hui ouvertement leur désolation.
La route du quartier n’a pas été achevée après l’assassinat, a laissé entendre un résident. Ce fut une grosse perte pour moi, confie un autre qui se dit prêt à faire des révélations.
Il soutient que le président Moïse avait été trompé par ses gardes qui lui faisait croire que les résidents du quartier le haïssait.
C’était afin de l’isoler et empêcher une réaction populaire lors de l’assaut contre sa résidence.
Le président Moïse n’a pas eu le temps de se réconcilier avec les gens du quartier. il avait pourtant commencé à visiter les résidents dans un élan de rapprochement.
D’autres citoyens confient que le président leur avait permis d’obtenir des jobs dans les services de ramassage d’ordures.
Il révèlent qu’ils ont été depuis limogé.
7 mois après le quartier pleure l’absence dans le même silence que lors de l’opération du commando.
LLM /Métropole Haïti
Dans langues se délient à Pèlerin
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