Des notables de l’Artibonite dénoncent les atrocités des gangs

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Dans leur repaire notamment à Joanis, les bandits infligent des traitements inhumains et dégradant aux victimes, révèle le journaliste, M. Fritzson Orelus, directeur d’une radio locale.


Les personnes séquestrées ne reçoivent que rarement de la nourriture et de l’eau. Selon les témoignages des personnes ayant recouvré leur liberté après versement de rançon, les bandits peuvent acheter un plat pour tout le groupe d’une cinquantaine de détenus.


L’eau potable n’est pas disponible dans cette zone difficile d’accès. En outre les victimes subissent des sévices corporels pour forcer leur parents a payer les rancons. Des anciens détenus rapportent que les bandits brûlent du plastic dans les mains des victimes.
M. Orelus soutient que Léa bandits utilisent des méthodes utilisées par les nazis dans les camps de concentration pendant la deuxième guerre mondiale.
Ces atrocités sont commises dans le quartier de de Joanis, non loin de Carrefour paye. L’endroit est connu mais il n’y a aucune intervention des forces de l’ordre, s’étonne M. Oréus appelant à une intervention urgente des forces de l’ordre .LLM / radio Métropole Haïti

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