La formation politique dirigée par le président du 26 novembre Jean Bertrand Aristide soutient qu’il est anormal que le pays ait deux (2) gouvernements. Le porte-parole de Fanmi Lavalas Yvon Neptune appuie les manifestants et souligne qu’Haïti n’est pas le premier pays dans le monde où éclate la violence. M. Neptune fait référence aux Etats-Unis et à la France en matière de manifestation en faveur de la démocratie. Le président du Sénat issu des élections du 21 mai critique le Groupe de Convergence Démocratique qui, selon lui, refuse de négocier avec le pouvoir lavalas.
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