La France “ condamne vigoureusement l’agression perpétrée à l’encontre de la jounaliste haitienne , Michèle Montas , qui a fait un mort “ a indiqué le vendredi 27 décembre 2002 le ministère français des affaires étrangères . Selon une dépêche de l’Agence France Presse (AFP),en date du 27 décembre, “ la France condamne vigoureusement toutes pressions , intimidations et menaces exercées contre les journalistes en Haiti , afin de les empêcher d’exercer librement leur profession “ , a déclaré le porte-parole adjoint du ministère , Bernard Valéro. “ La liberté de la presse est l’un des principaux acquis du processus démocratique engagé en Haiti depuis plusieurs années . Il convient de tout faire pour la préserver” , a-t-il ajouté , rappelant que la France a maintenu “ intégralement “ son aide au peuple haitien et “ qu’elle continue d’oeuvrer en ce sens “ . De son côté, l’organisation Reporters Sans Frontièrs (RSF) a exprimé le jeudi 26 décembre , sa “ profonde émotion “ après cette tentative d’assassinat, rapporte l’AFP . Dans un communiqué , le secrétaire général de RSF , Robert Ménard , estime qu’en “voulant tuer Michèle Montas , les agresseurs ont voulu éliminer celle qui aujourd’hui se bat pour que les assassins de son mari Jean Dominique soient jugés et condamnés “ .
La France et Reporters Sans Frontières condamnent l’attaque contre la résidence de Michèle Montas
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