Le premier ministre a.i Claude Joseph, se dit conscient que sa vie est en danger.
Il juge que les auteurs intellectuels de l’assassinat du président Jovenel Moïse tirent des ficelles afin de brouiller les pistes en ce qui a trait à l’enquête.
Le chef du Gouvernement a révélé que les auteurs du crime sont nombreux.
Nullement effrayé, le docteur Joseph se dit déterminé à faire aboutir l’enquête.
Implicitement M. Joseph est conscient de l’incapacité des forces de l’ordre à garantir sa sécurité.
Une fois de plus le chef du gouvernement a donné la garantie que l’enquête sur l’assassinat reste sa principale priorité.
En ce sens il n’entend pas cracher sur le cadavre pour rechercher ses intérêts personnels.
C’est une implication personnelle du chef de l’exécutif dans l’enquête visant à faire toute la lumière sur ce crime crapuleux.
M. Joseph entend assumer ses responsabilités et rendre justice à celui qui l’avait introduit dans la fonction publique.
Se considérant sous la menace des assassins de Jovenel Moïse, le chef de l’exécutif entend maintenir une implication personnelle dans le dossier jugeant insuffisante une gouvernance administrative.
LLM / Métropole Haïti