Les États Unis est le pays en première ligne pour le déploiement de la mission multinationale de sécurité. L’ambassadeur américains à Port-au-Prince, M. Denis Hankins, assure que la première base devant accueillir une partie des troupes est déjà disponible.
Pour l’instant c’est l’aspect de l’aviation qui doit être prise en compte afin que le premier contingent de policiers kényans soit déployé dans le pays.
Dans le même temps les américains s’évertuent à encourager les autres pays à décaisser des fonds pour la mission. Une des options est la mobilisation de ressources disponibles dans le fonds de l’ONU.
Les États Unis sont au four et au moulin et veulent trouver des équipements et matériels pour la mission. La première démarche consiste à trouver des équipements dans le surplus des stocks du gouvernement américain. En outre l’ambassadeur Hankins a fait valoir que les autres pays peuvent également fournir des équipements pour la mission.
Le seul bémol pour les américains est le refus de déployer des troupes au sol. Le diplomate americain argue que ceci est lié aux réticences de certains secteurs évoquant les deux interventions américaines dans le pays.
Toutefois le diplomate donne l’assurance que les kényans disposent d’une solide expérience dans les missions de maintien de la paix.
En plus de la mission multinationale les États Unis s’évertuent à renforcer la Police Haïtienne avec des dons en équipements. Même s’il reconnait le rôle prépondérant des forces armées d’Haïti dans le système sécuritaire Haïtien, M. Hankins soutient que la législation empêche la fourniture d’armes à l’armée haïtienne. Toutefois les États Unis encouragent les autres pays à collaborer avec les forces armées d’Haïti.
LLM / radio Métropole Haïti
Les États Unis multiplient les initiatives en vue du déploiement de la mission
Les États Unis est le pays en première ligne pour le déploiement de la mission multinationale de sécurité. L’ambassadeur américains à Port-au-Prince, M. Denis Hankins, assure que la première base devant accueillir une partie des troupes est déjà disponible.
Pour l’instant c’est l’aspect de l’aviation qui doit être prise en compte afin que le premier contingent de policiers kényans soit déployé dans le pays.
Dans le même temps les américains s’évertuent à encourager les autres pays à décaisser des fonds pour la mission. Une des options est la mobilisation de ressources disponibles dans le fonds de l’ONU.
Les États Unis sont au four et au moulin et veulent trouver des équipements et matériels pour la mission. La première démarche consiste à trouver des équipements dans le surplus des stocks du gouvernement américain. En outre l’ambassadeur Hankins a fait valoir que les autres pays peuvent également fournir des équipements pour la mission.
Le seul bémol pour les américains est le refus de déployer des troupes au sol. Le diplomate americain argue que ceci est lié aux réticences de certains secteurs évoquant les deux interventions américaines dans le pays.
Toutefois le diplomate donne l’assurance que les kényans disposent d’une solide expérience dans les missions de maintien de la paix.
En plus de la mission multinationale les États Unis s’évertuent à renforcer la Police Haïtienne avec des dons en équipements. Même s’il reconnait le rôle prépondérant des forces armées d’Haïti dans le système sécuritaire Haïtien, M. Hankins soutient que la législation empêche la fourniture d’armes à l’armée haïtienne. Toutefois les États Unis encouragent les autres pays à collaborer avec les forces armées d’Haïti.
LLM / radio Métropole Haïti